Et oui, V and B c’est aussi 15 semi-remorques et 1 camion de remorque… Mais surtout 16 chauffeurs qui approvisionnent nos 230 magasins de vins, bières et spiritueux pour le plus grand plaisir de nos VandBistes !
Des camions aux couleurs de V and B !
Chaque chauffeur possède son propre matériel qu’il soigne et entretien minutieusement. Vous verrez sur les routes des remorques différentes représentant notre univers : notre partenariat avec le skipper Maxime Sorel, notre festival V and B Fest’, notre brasserie Mont Hardi…
Transporteur depuis 2013
Notre entreprise de transport est basée à Château-Gontier (53) en Mayenne. Nous organisons et planifions le transport de la centrale d’achat V and B depuis 2013.
La distribution se fait sur toute la France sur l’ensemble des magasins de notre réseau soit 230 magasins en février 2021. Nos camions sont équipés de hayon et transpalette électrique afin de s’adapter à la livraison des clients.
Afin d’optimiser les flux retours vers le 53, nous complétons les tournées avec des ramasses de vins, bières, et spiritueux. Pour développer et optimiser l’activité, nous sommes aussi commissionnaires de transport. Nous effectuons aussi de l’affrètement pour compléter nos tournées en distribution toute France ainsi que les retours vers le grand Ouest. Nos camions ne roulent donc jamais à vide : nous ramenons aussi les bouteilles et futs consignés de nos magasins à notre entrepôt.
Nos camions vont également vers la Belgique et l’Allemagne afin d’approvisionner la plateforme en boisson (camion remorque et semi bâchée). Nous pouvons donc combiner des flux en retour vers le grand Ouest en provenance de ces deux pays.
Vous vous sentez l’âme d’un VandBiste ? Découvrez notre entreprise de transport :
Pour sa première participation à cet “ Everest des Mers “, Maxime Sorel a réussi l’exploit de terminer en une très belle et inespérée 10ème position ce samedi 30 janvier à 4h50 du matin. Une aventure ponctuée de hauts et de bas que Maxime a su nous faire vivre tout au long de ces 82 jours grâce à ses vidéos et ses récits remplis de spontanéité et de bonne humeur.
Oui, il nous a fait rêver, et son aventure aura été un sacré exemple de persévérance et de dépassement de soi .On espère que vous tous avez vibré comme nous !
Il a porté haut les couleurs de V and B, de la Mayenne et de Vaincre la Mucoviscidose et on peut être fier d’avoir un tel ambassadeur.
Objectif atteint !
“ Arriver, boucler la boucle, c’est déjà gagner le Vendée Globe !”
La bande son de l’écran géant du Village Départ résonne encore dans nos têtes..
Prouver que “rien n’est impossible”, même pour une 1ère participation, telle était la mission que s’était fixée Maxime. Avec un bateau d’ancienne génération , sans foil et qui n’avait jamais terminé la course depuis 2007, le défi était de taille.
Considéré par certains spécialistes comme une des révélations de cette édition, Maxime a coché son objectif principal qui était de boucler la boucle.
Que de chemin parcouru depuis 6 ans!
Fin 2014, lorsque l’aventure voile en Class40 a démarré chez V and B, qui aurait cru qu’on arriverait à relever un tel défi ! Atteindre un tel niveau de performance du point de vue sportif, mais aussi médiatique, rassembler autant de monde dans la communauté supporter du projet et de Maxime? Les retours ont largement dépassé nos espérances.
« Si on m’avait dit il y a 3 ans quand j’ai gagné la Transat Jacques Vabre 2017 en Class 40, que j’allais boucler un Vendée Globe en quasi 80 jours fin janvier 2021, je ne l’aurais pas vraiment cru. Avec ma petite équipe, avec mes partenaires, nous avons réussi un truc de fou… J’ai hâte de réaliser, de revivre le truc. C’est passé très vite. La fierté est là car j’ai eu pas mal de soucis tout au long de mon périple. Mon voilier a souffert et c’est un bonheur de l’amener aux Sables, lui qui n’avait jamais terminé un Vendée Globe.”
Maxime Sorel
Ressentis de notre cofondateur
Les ressentis de Jean-Pierre Derouet, co-fondateur de V and B :
« (…) Avec ma tournée des magasins V and B, je suis ainsi le grand témoin de l’engouement des français pour l’aventure V and B – Mayenne. N’importe où en France, je n’ai eu que de magnifiques retours de personnes fans de Maxime et du projet. Depuis 6 ans nous sommes aux côtés de Maxime et l’accompagnons dans ce rêve. Ce qu’il a donné sur son Vendée Globe n’est pas une surprise pour nous. Nous le connaissions passionné et enclin à nos valeurs de convivialité et de partage. Il est un ambassadeur génial pour V and B. Il a monté son projet de main de maître… Et il est allé au bout de ce rêve-là. Chapeau car le Vendée Globe est une course à part, il n’y a pas de compétition plus intense ! Maxime est allé puiser très loin dans ses ressources et dans la connaissance de lui-même. V and B est depuis le début caution de cette aventure et ce qu’il a réalisé ces trois derniers mois glorifie notre marque. Je suis un partenaire comblé. Heureux d’avoir construit et mené à bien ce projet avec lui. »
Jean-Pierre Derouet, cofondateur V and B
Une fin de course compliquée
La remontée de l’Atlantique se faisait, dans un premier temps, de manière un peu plus paisible mais Maxime n’accrochait pas le bon wagon laissant filer sans rien y pouvoir des voiliers plus véloces. Esseulé à la 10ème place, le marin s’accrochait tout de même.
Le 18 janvier, quasi 2 mois après son premier passage de l’équateur, Maxime repassait cette ligne imaginaire et s’engouffrait dans les méandres d’un pot toujours aussi affreux et déroutant. L’anticyclone des Açores n’était pas non plus une mince affaire pour le champion breton qui éprouvait des difficultés à le franchir.
La dernière ligne droite était très délicate et compliquée pour V and B – Mayenne, la faute à une énorme dépression, « Justine », plantée dans le golfe de Gascogne qui obligeait Maxime à accélérer pour se positionner en avant du front et afin d’atteindre samedi 30 janvier la ligne d’arrivée avant le gros de la tempête. Un épilogue qui demandait à Max d’aller au bout de lui-même, au bout de ses forces physiques et mentales mais qui relevait, une nouvelle fois, son indéniable talent.
Merci à tous pour votre suivi, votre soutien et tous vos messages d’encouragement tout au long de ce tour du monde !
Antoine Porcher nous décrit son parcours atypique qui l’a mené à son poste actuel de directeur général V and B.
Peux-tu nous décrire ton parcours chez V and B ?
– En parallèle de son école, un poste d’extra chez V and B
De 2000 à 2006, j’ai suivi une formation spécialisée en viticulture et œnologie. En parallèle de ces études et dès l’âge de 16 ans, j’ai commencé à travailler dans une cave à vins. J’ai ensuite intégré le staff des extras du V and B de Château-Gontier fin 2001. C’était parfait pour moi car j’apprenais la production du vin à l’école et je me perfectionnais au service du bar, à la vente et au produit de la bière spéciale que je n’avais pas dans mon cursus scolaire.
– Remplacements de responsables de magasins
De fil en aiguille, du poste extra, j’ai commencé à remplacer les responsables de magasins pendant leurs congés, ou les franchisés sur leurs premières années où les vacances se faisaient rares pour leur permettre de ne pas fermer leurs magasins. Cette expérience a été riche, elle m’a permise d’avoir une vision à 360° sur la gestion d’un point de vente.
– Une expérience à l’étranger dans le milieu viticole
En 2006, à la fin de mes études, je suis parti en Californie pour vinifier du vin en Napa Valley pendant 6 mois. Je suis revenu en France 1 mois puis je suis reparti en Nouvelle Zélande pour la période des vendanges qui se passe en mars.
– Les débuts chez V and B
Après cette expérience à l’étranger, en septembre 2007, j’ai intégré les équipes de V and B à temps plein. A l’époque, nous étions seulement 7 personnes pour gérer l’entrepôt et le réseau de magasins qui comptait seulement 9 magasins. Mon poste était extrêmement polyvalent puisque je jouais à la fois le rôle de formateur, d’animateur de réseau, de marketing. J’ai aussi pu préparer des commandesou trier des consignes dans l’entrepôt quand certains partaient en congés, mais aussi participer à l’achat des vins.
Mon rôle était de structurer notre société de franchise qui était encore toute jeune. Nous n’avions aucune expérience dans les réseaux de franchise. Nous l’avons créé en apprenant de nos échanges avec beaucoup de rencontres professionnelles, avec notre envie, notre passion et notre vision de l’aventure collective comme nous le voulions.
– Vers le poste de directeur de franchise
2 ans après, je prenais la direction de lafranchise. Je commençais à ce moment à me consacrer au recrutement des meilleurs profils possibles et surtout j’allais explorer la France pour leur dénicher les meilleurs emplacements. Il fallait également structurer notre organisation et renforcer les équipes avec de nouveaux arrivants. Nous passions alors de 9 magasins à mon arrivée en 2007, à 110 magasins à fin 2015.
– Puis directeur général V and B
En 2016, les cofondateurs du groupe, Jean-Pierre Derouet et Emmanuel Bouvet souhaitaient se consacrer à des projets annexes. Ils m’ont alors proposé le poste de directeur général afin d’être le garant de la pérennité du groupe V and B et de son image de marque.
Comment qualifierais-tu le poste de directeur général ?
Ce poste me permet d’avoir une vision à 360° sur toutes les branches d’activités de notre entreprise qui sont actuellement au nombre de 11. Cela fait bientôt 20 ans que j’ai mis un premier pied chez V and B, et je suis toujours aussi passionné par l’aventure folle que nous vivons.
Qu’est-ce que tu dirais de V and B ?
Je pense vraiment que, chez V and B, si on a la motivation, l’envie, la niaque, on a moyen de grandir avec l’entreprise. On a moyen de progresser, d’avancer, d’améliorer ses compétences et d’atteindre même ses rêves les plus fous.